Exposition en deux volets:
– dAM, place du Bourg 5
POUSSIÈRE DE MOTS | MAUX
Poèmes spontanés, transformés en vibrations graphiques illisibles. Ces paroles, que je nomme poussière de mots, surgissent au détour de moments sombres, lumineux, douloureux ou joyeux de ma vie.
– ENTRE, Atelier d’art Anne Blum, route de Vaulion 26
PIERRE | PRIÈRE
Salina me souffle le désir d’entreprendre un travail sur ses pierres.
Dessiner, peindre les pierres trouvées sur la plage du phare de Lingua, me permet d’exprimer la poésie de ce lieu qui observe mes allées et venues depuis si longtemps.
Un objet volant non identifié, un réfugié extraterrestre et sept vaisseaux spatiaux. Du papier périmé, un laboratoire argentique, des chimies écologiques. Une énigme: y aura-t-il d’autres mondes à détruire?
Prolongation de l’exposition jusqu’au 27.3.2022
Les artistes seront présentes les dimanches 13 février et 13 mars 2022, de 14h à 17h.
Le livre d’artiste qui constitue le projet «nessi – liens» garde la mémoire d’un processus d’installation entrepris par les deux artistes au début de l’année 2020 dans les rues et les marchés de Palerme. Après plusieurs séjours, elles y ont présenté leurs dessins – juste avant le début de la pandémie du Covid –, en contact spontané avec les marchands et les habitants. Elles les ont exposés sur des supports de fortune, à même les étals improvisés, les ventaux des boutiques et les murs ancestraux de la ville.
L’exposition Apparentés est une étape (qui en augure d’autres) d’un travail de recherche artistique entrepris depuis 2019 par Ariane Epars (* 1959 Pompaples), plasticienne, et Graziella Antonini (* 1967 Rho), photographe, autour d’un arbre exotique : le sequoia, dont l’écrivain naturaliste américain John Muir (1838-1914) a exalté l’imposante figure dans des écrits ayant fortement influencé la naissance de l’écologie moderne.
Conrad Willems (*1983, Ostende), résidant et travaillant à Gand, présente à Romainmôtier deux sculptures construites à l’aide de petits blocs de pierre évoquant des monuments architecturaux d’un autre temps. Il montre également une série de dessins à l’encre de Chine sur tirages photographiques noir et blanc de format A3, représentant des constructions faites à partir de plots de bois issus d’un jeu d’enfant.
A l’occasion de la parution du livre «This Book is Yours. Recettes pour la collaboration artistique», édité par Sally De Kunst, Julien Babel, Alberto de Andrés, Valentine Paley, Gosie Vervloessem et Julien Vuilleumier, les dessins originaux de Julien Babel réalisés pour l’illustrer sont présentés en exclusivité à dAM. Comme membre du comité de rédaction, l’artiste a participé à la sélection des contenus du livre et à sa conception, position dont il a avantageusement tiré parti pour la production de 19 dessins particulièrement inspirés, intrinsèquement et organiquement intégrés aux 19 chapitres qui constituent l’ouvrage. Le livre bilingue français/anglais est publié par Roc (Association Romainmôtier contemporain), à l’enseigne des maisons d’édition art&fiction, Lausanne, et Vexer, St. Gall / Berlin. Il est placé au cœur de l’exposition (…)
Mervyn Earl est un sculpteur né en 1967 à Norwich en Angleterre. Il s’est d’abord formé comme ébéniste, puis a suivi des études d’art à la Norwich School of Art and Design. Il réside à Bex en Suisse depuis 1999. Parallèlement à son travail d’artiste très discret et ayant à peine exposé, il est assistant technique en art dans une école privée à Chesières.
Photographe de formation, effectuant régulièrement le travail de documentation visuelle des expositions à dAM, David Amaral (*1988) fait actuellement un master en arts visuels à la Haute école d’art et de design à Genève. Curieux de nature, nouveau venu dans d’autres domaines d’expression artistique comme la peinture, le dessin ou le son, il tente d’en explorer les espaces interstitiels et les angles morts.
Le genre, autrement ! Dans une tradition d’ouverture à l’autre et de passion pour la connaissance, l’ancien monastère masculin de Romainmôtier accueille une expérience artistique participative. Présentée en trois volets, la manifestation aborde de façon originale et sous les points de vues les plus divers la question brûlante des identités de genre, l’un des enjeux cruciaux de la société actuelle.
Lavinia Raccanello, jeune artiste italienne, sensible aux valeurs de l’anarchisme et à l’histoire de la résistance civile, notamment des femmes, contre le fascisme, a conçu un puzzle géant à partir de documents d’archives sur la Guerre d’Espagne qu’elle a trouvés au CIRA (Centre International de Recherches sur l’Anarchisme) à Lausanne et au CSL (Centro Studi Libertari – Archivio Giuseppe Pinelli) à Milan.
Née en 1963 à Rolle, Clelia Bettua, artiste plasticienne installée à Lausanne, est entre autres la créatrice d’«Eole» (1995), une girouette semi-circulaire de 20 mètres de diamètre installée sur la digue du port de Lausanne-Ouchy. Cette intervention monumentale qui indique la direction des quatre vents principaux à l’aide de quatre monolithes dressés sur le quai participe désormais de l’identité visuelle de la ville de Lausanne.
Abel Azcona [*1988, né à Pampelune et actif près de Barcelone] est un artiste pluridisciplinaire, auteur d’œuvres à fort contenu politique et social, susceptibles de produire une vive réaction émotionnelle, notamment à travers des performances et des installations qui font souvent scandale.
Venez à Romainmôtier!
Le célèbre bourg médiéval lové autour de son abbatiale accueille une expérience artistique participative : «Migration in Mind». Présentée en trois volets («Gutta Cavat Lapidem» – «Une bibliothèque vivante» – «Migration en mouvement»), la manifestation, organisée par dAM et Arc artist residency, met en lien la tradition d’accueil et d’hospitalité ancestrale de Romainmôtier avec la question brûlante de la migration, en ces temps de crises et de désastres humanitaires aux frontières du continent.
C’est à l’occasion de deux résidences d’artiste faites à l’Arc à Romainmôtier depuis 2015, que Filip Berte, jeune artiste originaire de Gand, a conçu «Un-Home / Moving Stones», un vaste projet en cours sur la migration. À dAM, l’installation «Gutta Cavat Lapidem» (une citation d’Ovide signifiant «les gouttes d’eau creusent la pierre») constitue l’étape romamonastérienne du projet.
«Social Fabric» («Tissu social») est un projet collaboratif d’Anastasia Starostenko et d’Asli Hatipoglu, deux jeunes artistes, l’une russe et l’autre turque, vivant et travaillant à Amsterdam. Le projet s’inscrit dans la continuité d’une recherche artistique initiée à Romainmôtier en juin 2016, à l’occasion de leur résidence partagée à l’Arc.
dAM existe en périphérie. Marcel Duchamp brille au firmament de l’art contemporain. Stefan Banz se passionne pour Marcel Duchamp. Stefan Banz est un artiste conceptuel, un curateur, un essayiste. Caroline Bachmann est peintre dans un style ancien, lucidement active au dos de la modernité, ou à sa périphérie, renouant avec les formes des Primitifs de la Renaissance ou de l’Art nouveau.
Performance musicale les 7 et 8 janvier 2017 à 16h:
«Una storia del minestrone e le sue infinite variazioni», en création
Antonio Albanese, guitare électrique
Olivier Cuendet, clavier
A l’issue de la performance musicale, un minestrone sera servi.
Romainmôtier, le célèbre bourg médiéval lové autour de son Abbatiale, est mis au défi d’accueillir les expériences artistiques les plus contemporaines. Les vieilles pierres vont rajeunir d’un seul coup!
De nationalité anglaise, établie à Paris, Joan Ayrton (*Cully, 1969) est une artiste plasticienne dont la production – photographie, vidéo, installation, peinture – interroge les enjeux du regard et de la représentation, en explorant notamment la question de la couleur, non seulement dans sa dimension esthétique mais également éthique ou politique.
Exposition en deux volets:
> dAM, place du Bourg 5
> Atelier Anne Blum, route de Vaulion 26
Actif à Burgdorf (BE), Urs Plangg (*1933 Winterthur) est un artiste solitaire ayant longtemps vécu sur l’île grecque de Santorin à la manière d’un ermite.
Jérôme Hentsch est un artiste genevois passionné de littérature, que son œuvre transmute en enjeux plastiques et visuels qui s’affranchissent du texte sans le renier.
Abstraite et géométrique – indice immédiat de modernité –, la peinture de Pierre Schwerzmann n’aurait apparemment rien à faire à Romainmôtier, ce site médiéval lové au creux de son lointain passé de monastère roman, qui attire aujourd’hui le tourisme en raison de son ancienneté, de sa beauté, de son authenticité.
«Invocations» est un concert de musique de chambre pour deux soprani, flûte et percussion, produit par Julien Mégroz. Le projet s’inspire de l’atmosphère des légendes où les humains ont affaire à des forces mystérieuses.
Exposition de dessins et présentation du livre d’artiste «Chemin faisant: une vallée», avec un texte de Daniel Maggetti. Publication chez art&fiction, Lausanne.
Fils de cuivre mis sous tension électrique, tombant du plafond et embobinés sur des morceaux de pain sec et de charbon suspendus au ras d’un sol gris quadrillé d’aimants: telle est l’installation sonore presque silencieuse que Rudy Decelière présente à Romainmôtier.
Vidéo de la performance à l’occasion de l’inauguration La question rhétorique du titre de l’exposition indique que l’art d’Elisabeth Llach est politique. Il est politique en ce qu’il réclame un droit; un droit au jour, à opposer à l’offense séculaire faite aux femmes de les excuser d’exister comme on a daigné excuser Eve pour […]
«Addition de l’homme aux bêtes», tel est le titre poétique et inquiétant de l’exposition d’Alain Huck à Romainmôtier. Cette présentation, de nature rétrospective comme l’indique le sous-titre «Travaux 1985–2014», n’est cependant pas organisée selon une logique chrono-muséographique. Ce serait trop simple, et ce n’est pas la vocation du lieu, dont les dimensions réduites, par ailleurs, n’autorisent pas un tel projet explicatif.
Lecture mise en scène d’extraits de romans d’António Lobo Antunes, Thomas Bernhard, Kenzaburô Ôé, Arno Schmidt et Yûko Tsushima, choisis par Alain Huck, à l’occasion de l’inauguration de son exposition intitulée «Addition de l’homme aux bêtes».
Virginie Otth conçoit la photographie comme un art de l’installation. Ses images sont présentées à l’aide de dispositifs techniques, lumineux et spatiaux particuliers, au service d’une «métaphysique» photographique, comme le révèle «Blind Shadow».
«La Ville Qui» est un performance musicale dont le matériau de départ est une série de prises de sons réalisées en août 2012 par Anne Gillot et Laurent Estoppey dans les rues de Chicago. Le spectacle sonore fait écho – et rend hommage – à un projet abandonné de John Cage en 1942: «City Wears a Slouch Hat», qu’il s’approprie et réactualise en un autre lieu et un autre temps, avec des acteurs différents.
Hannes Schüpbach est un artiste plasticien reconnu pour ses films silencieux, telles des pensées en images. Joël-Claude Meffre est un poète de la spiritualité, inquiet notamment de l’ordre et du désordre dans la nature. Dans «Instants», qu’ils partagent, les deux auteurs proposent une lecture et une projection qui, respectivement, interrogent et mettent en œuvre la notion d’instant, dans une relation étroite entre texte et film.
Un récit d’Isabelle Guisan, écrivain et chroniqueuse. Une année dans la tête d’Eva, une femme qui vit dans le flou, qui attend et cherche partout où l’entraîne son existence les traces d’une mémoire défaillante.
Chez Luc Andrié, peintre, la couleur est innommable. Elle a quelque chose de suspect, d’empoisonné, d’envahissant, d’asphyxiant, de cyanosé, quelle qu’en soit l’improbable teinte. Elle est fourbe, retorse, perverse pour autant qu’une couleur puisse être dotée d’intention. A la fois, elle dissout et révèle, engloutit et expulse, accompagne et trahit la figure.
Artiste plasticienne lausannoise sensible aux questions des libertés et des conditionnements au sein des communautés humaines, Jacqueline Benz propose à Romainmôtier une exposition à plusieurs facettes. Elle comprend notamment des dessins, une vidéo et (dans un second temps) une installation sonore. Son travail instille dans le champ artistique une critique subtile à l’égard des sociétés […]
A l’occasion de son exposition « Free Hand », Franklin Chow invite Florence Grivel, historienne de l’art et journaliste culturelle spécialisée en arts visuels à la radio RTS Espace 2, pour une discussion publique concernant la nature, la signification et les enjeux de son travail présenté à Romainmôtier.
Franklin Chow est un artiste chinois originaire de Shanghai. Il s’est formé à l’Académie de la Grande Chaumière à Paris où il a découvert le courant de l’abstraction lyrique, notamment les travaux de Georges Mathieu et de son propre compatriote Zao Wou-ki. Habitant aujourd’hui la région de La Côte vaudoise, travaillant dans son atelier de Ste-Croix […]
Manifestement, Genêt Mayor, jeune artiste lausannois, s’intéresse aux géants serpents de l’imaginaire. L’Ogopogo, cousin canadien et palindromique du Nessie écossais, appartient à l’ordre des créatures crypto-zoologiques monstrueuses, fascinantes, légendaires. Le drôle de mot qui le désigne, « Ogopogo », semble avancer à l’aide de ses anneaux typographiques, imitant la chose et peut-être même le cri de la […]
Le dessin est au cœur du travail d’Anne Peverelli. A la manière des recueils de pièces de musique ancienne, elle met à disposition de ses interprètes des ensembles de feuillets dessinés parmi lesquels nous avons été invité, en sa compagnie, à faire un choix. Un choix pour Romainmôtier. Présenté sous forme de frise constituée de […]
Afin de laisser une trace de son thème annuel « moins », le SWB Werkbund Suisse Groupe Romandie a donné carte blanche à l’artiste Robert Ireland. Hors des formats et modes de production standards, le plasticien produit un objet singulier et fragile – questionnant le texte et l’image –, que le Werkbund invite à découvrir en regard de son exposition à Romainmôtier.
A l’occasion de son exposition Ici et maintenant à l’Espace de Andrés-Missirlian, Robert Ireland a invité Nicolas Othenin-Girard, psychiatre et psychanalyste, pour réfléchir et dialoguer au sujet de la nature et des enjeux de l’acte créateur.
Vivant et travaillant à Lausanne, Robert Ireland (*1964, Dallas USA) présente à Romainmôtier un ensemble d’œuvres mettant en jeu la dialectique de l’être et du disparaître. À cet égard, la conjugaison de la locution choisie par l’artiste « Ici et maintenant » pour intituler l’exposition, avec la devise de Romainmôtier « Le temps fuit » (inscrite sur les cadrans […]
« Des becs aux dames, des mains aux hommes.
Essaie d’arrêter le café, tu verras c’est bizarre.
Ce matin je me réinvente.
Zizi, zizi, pas touche.
On va jouer sur le goudron. » (GF)
Prenez distance, levez les yeux ! Elise Gagnebin-de Bons (Lausanne, 1976) plante ses drapeaux au centre de Romainmôtier, sur la façade à peine refaite de la maison ancienne abritant l’espace d’exposition. Pavoiser la façade après que les ouvriers l’ont mise à nu jusqu’à ses vestiges gothiques, l’ont recrépie puis repeinte, c’est la magnifier pour l’occasion. C’est […]
Florence Rabiller, jeune artiste de 25 ans, s’est formée comme céramiste à l’Ecole supérieure d’arts appliqués à Vevey. Elle poursuit actuellement sa formation artistique à l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg. Ne faire qu’1, l’œuvre murale que nous présentons, a obtenu en 2011 le Prix de l’Association céramique suisse pour un travail exceptionnel de fin de formation.
David Gagnebin-de Bons est un jeune artiste lausannois issu de l’Ecole d’Arts appliqués à Vevey qui a récemment publié un premier livre remarqué de photographies et de textes intitulé De mémoire (Centre de la photographie Genève / Editions Filigranes, 2010). Dans son exposition à Romainmôtier, il présente des photographies de « natures mortes » sur fonds obscurs qui rappellent la manière des peintres mystiques baroques.
Symboles de l’âme, de tous temps associés à la métamorphose, la renaissance, la résurrection, les papillons, qui inspirent aujourd’hui Anne Blum, sont devenus emblématiques de l’art de peindre. L’élégance et la variété des dessins, l’éclat poudré des couleurs de leurs membranes ailées, leur fragilité ainsi que l’imprévisibilité de leur envol gracieux ne pouvaient qu’inspirer les […]
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch
Collecte, prix indicatif minimum: 40 frs.
La plupart des œuvres au programme de ce récital provient de deux recueils manuscrits de pièces pour clavier, compilés à Ohrdruf par la famille Bach dans les premières années du 18ème siècle, soit le livre d’Andreas Bach (Andreas Bach Buch) et le manuscrit Möller (Möllersche Handschrift). Ces deux volumes représentent une part sans doute infime de la bibliothèque musicale familiale, une part toutefois révélatrice du répertoire pratiqué par le jeune Johann Sebastian: les compositeurs de l’Allemagne du Nord rencontrés ou auprès de qui il s’est formé, entre autres Dietrich Buxtehude (c. 1637-1707) et Georg Böhm (1661-1733), ceux de l’Allemagne centrale et du Sud, proches de sa famille, dont Johann Pachelbel (1653-1706), ainsi que les compositeurs étrangers, avant tout français. Enfin, les deux anthologies constituent la source la plus ancienne pour les œuvres de la jeunesse de Bach parmi les plus fameuses, notamment la passacaille pour orgue et certaines toccatas pour clavecin, dont celle en fa dièse mineur BWV 910.
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Collecte, prix indicatif: 40 frs
Introduction au programme en début de concert.
Concert donné sur un orgue ibérique original de 1764, exceptionnel en Suisse.
Il y a quatre cents ans, en pleine guerre de Trente ans, paraissent à Hambourg et à Rome deux publications majeures de musique de clavier, respectivement «Tabulatura Nova» de Samuel Scheidt et «Il Primo Libro di Capricci» de Girolamo Frescobaldi. Celles-ci vont s’avérer déterminantes pour toute l’histoire de la musique.
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Collecte, prix indicatif: 40 frs
Introduction au programme en début de concert
Un portrait musical de l’un des plus grands virginalistes de l’Angleterre élisabéthaine et jacobine.
Les 6 suites anglaises BWV 806-811 de Johann Sebastian Bach (1685-1750) seront présentées au public en trois volets et sur trois des cinq orgues du 18e siècle de l’espace dAM à Romainmôtier. Chacun de ces trois concerts sera l’occasion d’entendre un orgue en particulier. Outre le caractère soutenu des sons, la diversité des couleurs de l’orgue révèle sous un jour nouveau cette musique, en particulier la variété des styles d’écriture, réunis ici par le compositeur dans l’idée de pastorale, genre central de l’esthétique galante.
Les 6 suites anglaises BWV 806-811 de Johann Sebastian Bach (1685-1750) seront présentées au public en trois volets et sur trois des cinq orgues du 18e siècle de l’espace dAM à Romainmôtier. Chacun de ces trois concerts sera l’occasion d’entendre un orgue en particulier. Outre le caractère soutenu des sons, la diversité des couleurs de l’orgue révèle sous un jour nouveau cette musique, en particulier la variété des styles d’écriture, réunis ici par le compositeur dans l’idée de pastorale, genre central de l’esthétique galante.
Les 6 suites anglaises BWV 806-811 de Johann Sebastian Bach (1685-1750) seront présentées au public en trois volets et sur trois des cinq orgues du 18e siècle de l’espace dAM à Romainmôtier. Chacun de ces trois concerts sera l’occasion d’entendre un orgue en particulier. Outre le caractère soutenu des sons, la diversité des couleurs de l’orgue révèle sous un jour nouveau cette musique, en particulier la variété des styles d’écriture, réunis ici par le compositeur dans l’idée de pastorale, genre central de l’esthétique galante.
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Collecte, prix indicatif minimum: 40 frs.
Bien que Johannes Mitterreither ait été considéré par ses contemporains aux Pays-Bas comme l’un des meilleurs facteurs d’orgues allemands, au même titre que Silbermann, Schnitger, Bätz, Hinsz, König et Müller, son œuvre reste pourtant encore à redécouvrir. Qui plus est, la destruction dans l’incendie de 1838 de l’orgue à trois claviers de 1774 à Hoorn (Grote Kerk), son «opus maximum», n’a pas permis à la postérité de prendre la pleine mesure de son art. La découverte de petits instruments encore inconnus de ce facteur – outre le nôtre, deux autres sont conservés aux Pays-Bas –, est donc d’autant plus réjouissante qu’elle contribue, même modestement, à préciser l’image que nous nous faisons de Johannes Mitterreither.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch
Collecte, prix indicatif minimum: 40 frs.
Les Variations Goldberg BWV 988 tirent leur appellation d’une anecdote bien connue, mais certainement apocryphe, rapportée en 1802 par Johann Nicolaus Forkel (1749-1818), premier biographe de Johann Sebastian Bach. D’après lui, l’œuvre serait une commande du comte Hermann Carl von Keyserlingk (1696-1764), ancien ambassadeur de Russie à la cour de l’électeur de Saxe.
La genèse des Partitas remonte à 1725 au moins. Le petit livre de clavier d’Anna Magdalena Bach (1701-1760), compilé cette année-là contient en effet une copie autographe des partitas III en la mineur BWV 827 et VI en mi mineur BWV 830. Leur pièce initiale y est alors simplement intitulée Prélude. Fait significatif, la Burlesca de la partita III porte le titre de Menuet dans la copie du petit livre. Enfin, l’avant-dernier mouvement de la partita en question, un Scherzo, ne figure pas dans la copie de 1725.
Les 6 partitas pour clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750) ont été données à l’espace dAM en 2014 dans le contexte de mon intégrale consacrée à ce compositeur de 2013 à 2015. Pour cette nouvelle présentation des partitas, j’ai choisi de donner à mes récitals une forme différente, à la fois plus personnelle et reflétant mieux ma pratique musicale. Il n’y aura qu’une seule partita par concert, mais chacune d’elles entrera en résonance, pour ainsi dire, avec une autre œuvre d’envergure du répertoire, mais d’un compositeur différent.
Les 6 partitas pour clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750) ont été données à l’espace dAM en 2014 dans le contexte de mon intégrale consacrée à ce compositeur de 2013 à 2015. Pour cette nouvelle présentation des partitas, j’ai choisi de donner à mes récitals une forme différente, à la fois plus personnelle et reflétant mieux ma pratique musicale. Il n’y aura qu’une seule partita par concert, mais chacune d’elles entrera en résonance, pour ainsi dire, avec une autre œuvre d’envergure du répertoire, mais d’un compositeur différent.
Les 6 partitas pour clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750) ont été données à l’espace dAM en 2014 dans le contexte de mon intégrale consacrée à ce compositeur de 2013 à 2015. Pour cette nouvelle présentation des partitas, j’ai choisi de donner à mes récitals une forme différente, à la fois plus personnelle et reflétant mieux ma pratique musicale. Il n’y aura qu’une seule partita par concert, mais chacune d’elles entrera en résonance, pour ainsi dire, avec une autre œuvre d’envergure du répertoire, mais d’un compositeur différent.
Les 6 partitas pour clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750) ont été données à l’espace dAM en 2014 dans le contexte de mon intégrale consacrée à ce compositeur de 2013 à 2015. Pour cette nouvelle présentation des partitas, j’ai choisi de donner à mes récitals une forme différente, à la fois plus personnelle et reflétant mieux ma pratique musicale. Il n’y aura qu’une seule partita par concert, mais chacune d’elles entrera en résonance, pour ainsi dire, avec une autre œuvre d’envergure du répertoire, mais d’un compositeur différent.
Concert annulé en raison des dispositions sanitaires générales
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch
Collecte, prix indicatif minimum: 30 frs.
Conditions sanitaires: distance et masques
Les 6 partitas pour clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750) ont été données à l’espace dAM en 2014 dans le contexte de mon intégrale consacrée à ce compositeur de 2013 à 2015. Pour cette nouvelle présentation des partitas, j’ai choisi de donner à mes récitals une forme différente, à la fois plus personnelle et reflétant mieux ma pratique musicale. Il n’y aura qu’une seule partita par concert, mais chacune d’elles entrera en résonance, pour ainsi dire, avec une autre œuvre d’envergure du répertoire, mais d’un compositeur différent. Cette œuvre ne sera dévoilée qu’au moment du concert. Je m’expliquerai alors, pour les personnes présentes, sur les motivations de mon choix. Par ailleurs, il y aura aussi une partie improvisée. L’improvisation tient une place discrète mais essentielle dans mon travail d’interprète. La capacité de produire dans l’instant est une chose fascinante. Je m’y exerce pour ma part par une pratique assidue de la musique polyphonique de clavier en partition (partitura) du début du 17ème siècle.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch
Collecte, prix indicatif minimum: 30 frs.
Un premier récital consacré à Girolamo Frescobaldi (1583-1643) a eu lieu dans la salle de musique de l’espace dAM en janvier 2018, dans le cadre d’un cycle intitulé «Le Siècle d’or du clavier». Ce concert était l’occasion de faire en quelque sorte le portrait de cet éminent compositeur, en puisant, pour le choix des œuvres, dans l’ensemble de ses publications pour clavier. (…)
La saison 2019-2020 s’ouvre avec un concert consacré à l’intégralité du «Primo libro di Toccate d’intavolatura di cimbalo et organo» de Girolamo Frescobaldi (1583-1643), une œuvre-phare dans l’histoire de la musique, qui a fixé les nouveaux canons esthétiques du baroque naissant. Plus encore, parce qu’elle place la question du temps musical et de ses enjeux de sens au cœur des préoccupations du compositeur et organiste de Saint-Pierre de Rome, sa musique, plus de quatre cents ans après, n’a rien perdu de sa force.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch. Collecte, prix indicatif minimum: 30 frs.
Je dédie cette présentation du second volume du Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750) à Bob van Asperen, mon professeur de clavecin au conservatoire supérieur de musique d’Amsterdam. Claveciniste de réputation internationale, Bob van Asperen était lui aussi un maître recherché, qui a formé de nombreux étudiants venant du monde entier. Christiane Jaccottet et Bob van Asperen ont été tous deux déterminants dans ma vie de musicien, en particulier dans mon rapport à l’œuvre de Johann Sebastian Bach.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch
Collecte, prix indicatif minimum: 30 frs.
Je dédie cette présentation du premier volume du Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750) à Christiane Jaccottet, ma professeure de clavecin au conservatoire supérieur de musique de Genève, décédée il y a vingt ans cette année. Claveciniste de renommée internationale, Christiane Jaccottet était également un maître recherché, qui a formé de nombreux élèves venant du monde entier. Aujourd’hui, les plus chers souvenirs que j’ai de mes cours avec elles se cristallisent autour du Clavier bien tempéré.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch. Collecte, prix indicatif: 30 frs.
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch. Collecte, prix indicatif: 30 frs
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch. Collecte, prix indicatif: 30 frs
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedam.ch. Collecte, prix indicatif: 30 frs
La présence récente d’un clavecin historique de l’école allemande dans la salle de musique a inspiré la programmation de la saison 2018-2019, tout entière centrée sur le Clavier bien tempéré de Johann Sebastian Bach (1685-1750), dans une présentation originale où, de surcroît, tous les instruments à clavier de la salle de musique vont prendre tour à tour la parole.
Places limitées, réservations: contact(at)espacedAM.ch, www.espacedAM.ch. Collecte, prix indicatif: 30 frs
Composées sans doute à Leipzig autour de 1725, les six sonates pour violon et clavecin obligé BWV 1014-1019 de Johann Sebastian Bach (1685-1750) constituent un ensemble d’un genre nouveau dans l’histoire de la musique à cette époque.
Le cycle de quatre concerts de la saison 2017-2018 mettra en lumière la musique de clavier au tournant des 16e et 17e siècles, à travers les quatre plus éminents compositeurs des Pays-Bas, de l’Angleterre, de l’Italie et de l’Espagne, à savoir Jan Pieterszoon Sweelinck (1562-1621), John Bull (1562/3-1628), Girolamo Frescobaldi (1583-1643) et Francisco Correa de Arauxo (1584-1654). L’extraordinaire qualité et originalité de la musique de clavier parvenue jusqu’à nous de ces compositeurs fait d’eux les figures de proue du passage de la Renaissance au Baroque et les hérauts d’un âge d’or de la musique de clavier.
Le cycle de quatre concerts de la saison 2017-2018 mettra en lumière la musique de clavier au tournant des 16e et 17e siècles, à travers les quatre plus éminents compositeurs des Pays-Bas, de l’Angleterre, de l’Italie et de l’Espagne, à savoir Jan Pieterszoon Sweelinck (1562-1621), John Bull (1562/3-1628), Girolamo Frescobaldi (1583-1643) et Francisco Correa de Arauxo (1584-1654). L’extraordinaire qualité et originalité de la musique de clavier parvenue jusqu’à nous de ces compositeurs fait d’eux les figures de proue du passage de la Renaissance au Baroque et les hérauts d’un âge d’or de la musique de clavier.
Carte blanche à la violiste munichoise Friederike Heumann, avec un parcours dans le répertoire pour viole de gambe seule et à la découverte d’un instrument peu connu en particulier, la lyra-viol, très en vogue en Angleterre à la Renaissance.
Le cycle de quatre concerts de la saison 2017-2018 mettra en lumière la musique de clavier au tournant des 16e et 17e siècles, à travers les quatre plus éminents compositeurs des Pays-Bas, de l’Angleterre, de l’Italie et de l’Espagne, à savoir Jan Pieterszoon Sweelinck (1562-1621), John Bull (1562/3-1628), Girolamo Frescobaldi (1583-1643) et Francisco Correa de Arauxo (1584-1654). L’extraordinaire qualité et originalité de la musique de clavier parvenue jusqu’à nous de ces compositeurs fait d’eux les figures de proue du passage de la Renaissance au Baroque et les hérauts d’un âge d’or de la musique de clavier.
Le cycle de quatre concerts de la saison 2017-2018 mettra en lumière la musique de clavier au tournant des 16e et 17e siècles, à travers les quatre plus éminents compositeurs des Pays-Bas, de l’Angleterre, de l’Italie et de l’Espagne, à savoir Jan Pieterszoon Sweelinck (1562-1621), John Bull (1562/3-1628), Girolamo Frescobaldi (1583-1643) et Francisco Correa de Arauxo (1584-1654). L’extraordinaire qualité et originalité de la musique de clavier parvenue jusqu’à nous de ces compositeurs fait d’eux les figures de proue du passage de la Renaissance au Baroque et les hérauts d’un âge d’or de la musique de clavier.
Le Quatrième Livre de Pièces de clavecin de François Couperin paraît à Paris en 1730, soit huit ans après le Troisième Livre. Les pièces du Quatrième Livre, d’après la préface, étaient pourtant achevées trois ans plus tôt. L’âge avancé et une santé alors déclinante, ont obligé le compositeur de cesser de travailler.
Originaire de Niederhelfenschwil, près de Bischofszell, en Suisse orientale, Joseph Anton Moser (1731-1792) est un facteur d’orgues et d’instruments à clavier, fondateur d’une importante lignée de facteurs, actifs non seulement à Fribourg en Suisse, mais aussi en Autriche-Hongrie. Joseph Anton Moser s’est formé six ans auprès de Johann Michael Bihler (c.1687-1763), facteur d’orgues de l’Évêché de Constance, selon une notice biographique le concernant dans les archives du célèbre facteur d’orgues alsacien Jean-André Silbermann (1712-1783).
Le «Troisième Livre des Pièces de clavecin» de François Couperin paraît à Paris en 1722. Les ordres qui le constituent forment comme des galeries de tableautins, faisant surgir tour à tour des portraits intimes ou galants, des figures allégoriques ou de caractère, des scénettes champêtres, des bambochades et autres délicatesses décoratives dans le goût du rococo.
Le Salve Regina est l’une des principales antiennes mariales de la tradition catholique, en l’occurrence celle du temps ordinaire (période comprise entre la Trinité et l’Avent). Adressée à la Vierge Marie, cette prière chantée, dont l’origine se perd dans le Moyen-âge, appartient au répertoire du chant grégorien.
Le «Second Livre des Pièces de clavecin» de François Couperin paraît à Paris en 1717, quatre ans après le «Premier Livre». Sa publication était pourtant annoncée dans la préface du livre de 1713, pour la fin de l’année même. De fait, la préface au «Second Livre» revient largement sur les motifs de ce retard: en premier lieu le souci de laisser aux personnes de goût le temps de posséder suffisamment les pièces du «Premier Livre» et la publication en 1716 d’une méthode intitulée «L’Art de toucher le Clavecin».
Natif de Francfort et établi à Barcelone, Andreas Martin est l’un des plus éminents spécialistes du luth. Son enregistrement des œuvres complètes pour luth de J. S. Bach a été unanimement salué par la critique internationale.
Ecrivain et chercheur, professeur d’études théâtrales à l’Accademia Teatro Dimitri à Verscio (CH), Richard Weihe est notamment connu pour ses biographies fictionnelles d’artistes singuliers, telle «Mer d’encre» (2004) qui parcourt la vie du peintre et calligraphe chinois Bada Shanren (c.1626-1705), texte pour lequel il a reçu le Prix des auditeurs de la Radio Suisse Romande en 2005.
Le titre de ce programme évoque le pigment bleu profond découvert à Berlin au début du 18ème siècle et très rapidement adopté, entre autres, par les peintres du rococo, afin de solenniser le satin des habits, le velours des tentures, la soie des tapis et autres apanages de l’aristocratie.
En 1713, lorsqu’il publie son «Premier Livre des Pièces de clavecin», François Couperin est âgé de quarante-cinq ans et c’est un musicien reconnu. Cette première publication pour le clavecin n’a pour lui rien du coup d’essai: depuis longtemps ses pièces «ont eu le bonheur de plaire».
Le programme de ce récital est entièrement consacré à des œuvres pour clavier de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791). Ce concert est l’occasion de suivre la trajectoire du compositeur à travers son rapport à l’orgue, instrument pour lequel il vouait, comme il l’écrit lui-même, une véritable «passion», passion qu’il faut entendre ici par opposition à «profession».
La danse macabre était à l’origine une allégorie sur l’universalité de la mort: personne, quels que soient le rang et la condition sociale, n’y échappe.
30.10.2015, 20h-22h Académie de musique Patrick Montan-Missirlian, clavecin– John Bull (1562/3-1628), «Queene Elizabeth’s pavin and galliard», également intitulée «Paven Chromatique» (1603) MB 87
2.10.2015, 20h-22h Académie de musique Patrick Montan-Missirlian, orgue J. A. Moser (Fribourg, c. 1767)– Johann Ludwig Krebs, Prélude, choral et choral alio modo sur «Von Gott will ich nicht lassen», extraits de la «Clavier-Übung»
«Ich ging einmal spazieren» est le titre d’une mélodie populaire à l’origine des 31 variations du compositeur allemand Hans Leo Hassler (1564-1612), l’une des œuvres pour clavier les plus impressionnantes de la fin de la Renaissance.
Les Variations Goldberg BWV 988 tirent leur appellation d’une anecdote bien connue, mais certainement apocryphe, rapportée en 1802 par Johann Nicolaus Forkel (1749-1818), premier biographe de Johann Sebastian Bach. D’après lui, l’œuvre serait une commande du comte Hermann Carl von Keyserlingk (1696-1764), ancien ambassadeur de Russie à la cour de l’électeur de Saxe.
8.5.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, clavecin– Quodlibet des Variations Goldberg BWV 988
1.5.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher (Elberfeld, c. 1770)– 14 canons BWV 1087 (suite)
24.4.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher (Elberfeld, c. 1770)– 14 canons BWV 1087
L’orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher à l’honneur pour ce concert est l’un des rares instruments de l’école rhénane du 18ème siècle encore conservés. Il a été construit autour de 1770 à Elberfeld, dans le Bergisches Land, par l’un des meilleurs facteurs allemands de son époque.
Quatorzième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, l’Art de la fugue BWV 1080 est présenté sur deux orgues historiques du 18ème siècle, à l’occasion d’un concert unique, le samedi 21 mars 2015, 330ème anniversaire du compositeur, né le 21 mars 1685.
Le précieux instrument a été construit à Fribourg vers 1767 par Joseph Anton Moser (1731-1792), facteur d’orgues originaire de Niederhelfenschwil (SG) et fondateur d’une importante dynastie de facteurs fribourgeois, dont le membre le plus célèbre est Aloys Mooser (1770-1839), fils de Joseph Anton et auteur notamment du fameux orgue de la cathédrale St-Nicolas à Fribourg.
20.2.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher– Fugue pour orgue sur le choral «Christ, unser Herr, zum Jordan kam BWV 685», extraite de la troisième partie de la Clavier-Übung (Leipzig, 1739)
13.2.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher– Fugue pour orgue sur le choral «Jesus Christus, unser Heiland» BWV 689, extraite de la troisième partie de la Clavier-Übung (Leipzig, 1739)
6.2.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgue historique Jacob Engelbert Teschemacher– Choral «Dies sind die heil’gen zehn Gebot» (édition Breitkopf n° 66), extrait d’une cantate aujourd’hui perdue
– Choral «Aus tiefer Noth schrei ich zu dir» (édition Breitkopf n° 31), extrait de la cantate du même titre BWV 38, composée à Leipzig en 1724, pour le 21ème dimanche après la Trinité
– Choral «Jesus Christus, unser Heiland» (édition Breitkopf n° 206), extrait d’une cantate aujourd’hui perdue
Samedi 24 janvier 2015 à 16h, préludes et fugues BWV 870-881
Dimanche 25 janvier 2015 à 16h, préludes et fugues BWV 882-893
– Fugues en do dièse majeur BWV 872, en la majeur BWV 888 et en si bémol majeur BWV 890 du second volume du Clavier bien tempéré
16.1.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, clavecin– Fugues en do dièse mineur BWV 873 et en sol mineur BWV 885
– Le Clavier bien tempéré (deuxième volume)
9.1.2015, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Fugue en si bémol mineur BWV 891 et fugue en si majeur BWV 892, extraites du deuxième volume du Clavier bien tempéré
Pascoal Caetano Oldovino (*14.3.1713 – †25.4.1785) est un facteur d’orgues important originaire de Gênes, actif dès 1742 à Évora, au Portugal. Une quarantaine d’instruments d’église sont parvenus jusqu’à nous, principalement des positifs, mais également de grandes orgues de tribune comme celui de la cathédrale d’Évora (1758) ou celui de l’ancienne cathédrale d’Elvas (1762). Au même titre que Domenico Scarlatti (*1685–†1757) ou Farinelli (*1705–†1782), il fait partie de cette vague d’artistes et d’artisans italiens attirés au Portugal dans la première moitié du 18e siècle en raison du goût italianisant de la Cour et de l’Église, alors engagées dans de vastes programmes d’embellissement architectural et artistique du pays, financés notamment grâce à l’afflux d’or et de pierres précieuses du Brésil.
12.12.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Fugue en ré dièse mineur BWV 877 et fugue en sol dièse mineur BWV 887, extraites du deuxième volume du Clavier bien tempéré
28.11.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Chorals «Hilf deinem Volk, Herr Jesu Christ» et «Nun hilf uns Herr den Deinen dein» (Breitkopf n°134 et n°135), extraits des cantates BWV 119 «Preise Jerusalem den Herrn» et BWV 120 «Gott, man lobet dich in der Stille», composées toutes deux pour l’élection du nouveau conseil municipal de la Ville de Leipzig, respectivement en 1723 et 1728 (ou 1729).
– Fugues en do mineur BWV 871 et mi majeur BWV 878, extraites du deuxième volume du Clavier bien tempéré.
– Choral «Herr Gott, dich loben wir» (Breitkopf, n°133), extrait d’une cantate aujourd’hui perdue
Onzième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, les partitas sont présentées en deux concerts le dimanche 9 novembre 2014 à 16h et le dimanche 16 novembre 2014 à 16h. Pour chacun de ces concerts, deux clavecins construits par Dominique Laperle sont utilisés, l’un d’après Nicolas Dumont (Paris, 1707) et l’autre d’après Carlo Grimaldi (Messine, 1697/1703).
7.11.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Chorals «Kommt her zu mir, spricht Gottes Sohn» (Breitkopf n° 223 et n° 224), extraits des cantates BWV 74 «Wer mich liebet, der wird mein Wort halten» et BWV 108 «Es ist euch gut, dass ich hingehe», composées toutes deux à Leipzig en 1725, respectivement pour la Pentecôte et pour le quatrième dimanche après Pâques.
31.10.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Chorals «Es spricht der Unweisen Mund wohl» et «Es steh’n vor Gottes Throne» (édition Breitkopf, n° 92 et n° 93), tous deux extraits de cantates aujourd’hui perdues.
– Fantasia extraite de la partita III en la mineur BWV 827
– Choral «Schaut hin, dort liegt im finstern Stall» (édition Breitkopf n° 323), extrait de l’oratorio de Noël BWV 248, exécuté à Leipzig en 1734
– Duetto II en fa majeur BWV 803, extrait de la troisième partie de la «Clavier-Übung» (1739)
– Choral «Wie soll ich dich empfangen» (édition Breitkopf n° 165), extrait de l’oratorio de Noël BWV 248, exécuté à Leipzig en 1734
– Partitas BWV 825-830 (extraits)
Dixième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, le concerto dans le goût italien BWV 971, l’ouverture à la française BWV 831 et les quatre duetti BWV 802-805 sont proposés au clavecin et aux orgues samedi 13 septembre à 20h00 et dimanche 14 septembre à 17h00 (même programme chaque fois). Ce programme marque la reprise de l’intégrale Bach après la pause estivale.
Neuvième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, les six suites dites anglaises BWV 806-811 sont proposées au clavecin en deux concerts. Dernier volet avant la pause d’été, ce programme clôt également la première partie de l’intégrale Bach, consacrée aux œuvres composées avant le cantorat de Leipzig, c’est-à-dire avant 1723. Les récitals reprendront dès le mois de septembre 2014, avec les œuvres composées durant les années à Leipzig.
30.5.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Prélude en la mineur BWV 942 et prélude en do mineur BWV 999
Huitième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, les soi-disant petits préludes et fugues n’ont de petit que le nombre de mesures qui les constituent pour la plupart. En réalité, il s’agit de compositions parfaitement équilibrées et autonomes, à l’harmonie chantante, qui rappellent, par leur concision, les inventions à deux et trois voix de l’«Aufrichtige Anleitung» de 1723.
9.5.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Choral «Jesu, nun sei gepreiset» (édition Breitkopf n° 203-205), extrait des cantates BWV 41 «Jesu, nun sei gepreiset», BWV 171 «Gott, wie dein Name» et BWV 190 «Singet dem Herrn ein neues Lied», composées à Leipzig pour le jour de l’an respectivement 1725, 1729 et 1724
Septième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, les préludes et fugues BWV 894, 896, 901, 902, 923 et les fugues BWV 946-951, 954, 955 sont proposés au clavicorde à pédalier. Les fugues BWV 946, 948 et 949 semblent destinées à un instrument disposant d’un pédalier, lequel était dans ce cas probablement lié au clavier manuel.
18.4.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Fugues en do majeur BWV 946, en la majeur BWV 949, en si bémol majeur BWV 955 et en si bémol majeur BWV 956
11.4.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Prélude et fugue en la mineur BWV 894
4.4.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Chorals «Das walt’ Gott Vater und Gott Sohn» (édition Breitkopf, n° 58) et «Das walt’ Gott» (édition Breitkopf, n° 59), extraits de cantates aujourd’hui perdues.
Sixième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, la sonate BWV 963, le Capriccio in honorem Johann Christoph Bachii Ohrdruf BWV 993 et les fantaisies BWV 903-904, 906, 917-19, 922, 944 sont proposés au clavicorde à pédalier.
28.3.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Fantaisie chromatique et fugue en ré mineur BWV 903
– Fantaisies BWV 917, 919, 922 et 944
– Choral « Der Tag, der ist so freudenreich », extrait d’une cantate aujourd’hui perdue (n° 62, édition Breitkopf)
– Fantaisie et fugue en la mineur BWV 904
– Choral « An Wasserflüssen Babylon », extrait d’une cantate aujourd’hui perdue (n° 23, édition Breitkopf)
– « Fantasie über ein Rondo » en do mineur BWV 918
– Capriccio BWV 992, suites BWV 818-820, 823, 832-833, 841-843 et sonates BWV 964-968
Cinquième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, le Capriccio sopra il lontananza de il Fratro dilettissimo BWV 992, les suites et mouvements de suites BWV 818-820, 823, 832-833 et 841-843, ainsi que les sonates BWV 964-968, couvrent une tranche chronologique assez large, depuis les années de formation à Lunebourg (Lüneburg), au tournant du siècle, jusque vers 1725 pour les plus tardives.
21.2.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– «Kyrie, Gott Vater in Ewigkeit», extrait d’une messe luthérienne aujourd’hui perdue (n° 225, édition Breitkopf)
Hopkinson Smith, musicien d’origine new-yorkaise, est reconnu internationalement pour ses interprétations du répertoire du luth renaissance et du luth baroque ainsi que du théorbe, de la vihuela et de la guitare baroque. Il a été membre fondateur de l’ensemble Hespèrion XX. Il est professeur à la Schola Cantorum Basiliensis à Bâle.
24.1.2014, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Chorals « Verleih’ uns Frieden gnädiglich », extraits des cantates BWV 126 « Erhalt’ uns, Herr, bei deinem Wort » et BWV 42 « Am Abend aber desselbigen Sabbaths », composées toutes deux en 1725, respectivement pour le dimanche de Sexagésime et l’octave de Pâques (Quasimodo geniti)
Quatrième volet de l’intégrale Johann Sebastian Bach (1685-1750) pour clavier, le premier volume du Clavier bien tempéré est présenté en deux récitals, chaque fois au clavecin, à savoir les préludes et fugues 1 à 12 (BWV 846 à 857), puis les préludes et fugues 13 à 24 (BWV 858 à 869).
– Le Clavier bien tempéré (premier volume)
13.12.2013, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Choral « Warum betrübst du dich, mein Herz », extrait d’une cantate aujourd’hui perdue (n° 332, édition Breitkopf)
– Fugue en ré dièse mineur BWV 853, extraite du Clavier bien tempéré (premier volume)
Troisième volet de l’intégrale centrée sur l’œuvre pour instrument à clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750), les sept toccate BWV 910-916 sont présentées d’abord aux orgues (concert du 24.11.2013, puis au clavicorde à pédalier (concert du 8.12.2013), enfin au clavecin (concert du 15.12.2013).
6.12.2013, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Choral « Warum betrübst du dich mein Herz », extrait d’une cantate aujourd’hui perdue (n° 331, édition Breitkopf)
– Fugue en do majeur BWV 846, extraite du Clavier bien tempéré (premier volume)
– Choral « Jesus, meine Zuversicht », extrait du premier choeur de la cantate BWV 145 « Ich lebe, mein Herze, zu deinem Ergötzen », composée à Leipzig en 1729 pour Pâques
– Invention 2 en do mineur BWV 773 et sinfonia 2 en do mineur BWV 788
Deuxième volet, après le Suites françaises, de l’intégrale centrée sur l’œuvre pour instrument à clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750), les inventions à deux et trois voix sont présentées d’abord au clavicorde (concert du 3.11.2013), puis au clavecin (concert du 10.11.2013).
1.11.2013, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Choral « Er ist das Heil und selig’ Licht », extrait de la cantate BWV 83 « Erfreute Zeit im neuen Bunde » composée en février 1724 pour la fête de la purification de Marie (Chandeleur)
– Sinfonia 6 en mi majeur BWV 792 et sinfonia 9 en fa mineur BWV 795
– Choral « Auf meinen lieben Gott », extrait de la cantate BWV 5 « Wo soll ich fliehen hin » composée en 1724 pour le 19ème dimanche après la Trinité
– Sinfonia 1 en do majeur BWV 787 et sinfonia 14 en si bémol majeur BWV 800
– Choral « Vater unser im Himmelreich », extrait de la cantate BWV 90 « Es reifet euch ein schrecklich Ende » pour le 25ème dimanche après la Trinité
– Invention 11 en sol mineur BWV 782
Premier volet de l’intégrale centrée sur l’œuvre pour instrument à clavier de Johann Sebastian Bach (1685-1750), les six suites dites françaises BWV 812-817 sont proposées d’abord au clavicorde (concert du 22.9.2013), puis au clavecin (concert du 29.9.2013).
13.9.2013, 20h-22h Académie Johann Sebastian Bach Patrick Montan-Missirlian, orgues historiques Joseph Anton Moser et Jacob Engelbert Teschemacher– Choral « Wir Christenleut », extrait de la cantate BWV 40 « Dazu ist erschienen der Sohn Gottes » composée en 1723 pour le deuxième jour de Noël
– Invention 1 en do majeur BWV 772
Né à Stuttgart d’un père musicien de cour, disciple à Rome de l’organiste de St-Pierre, Girolamo Frescobaldi (1583-1643), organiste à la cour impériale de Vienne de 1637 à 1658, ami d’éminents compositeurs tels Matthias Weckmann (c. 1616-1674) à Dresde et Louis Couperin (c. 1626-1661) à Paris, Johann Jacob Froberger (1616-1667) est à l’origine de l’organisation de la suite pour clavier en quatre mouvements de danse.
Ce récital inaugure la série de concerts de musique ancienne qui se tiendront dorénavant à l’enseigne de l’espace dAM, parallèlement aux expositions d’art contemporain. Le programme a été choisi pour donner un avant-goût des saisons à venir, centrées sur les plus grands compositeurs de l’époque baroque.